En 1980, lors de la préparation de la traversée Marquises Tuamotu, Arnaud choisi le cerf-volant pour assurer la navigation de sa planche pendant les moments de repos. Cette technique apparaît comme très performante, elle permet même de conserver un cap différent du vent arrière en modifiant le point d'arrimage du parafoïl à la planche.

Arnaud à l'idée de fixer la balise de détresse au cerf-volant. Ceci permet d'accroître de manière importante sa portée d'émission. Il dépose alors plusieurs brevets sur un parafoïl dit de détresse en situation de survie.